Anima Ataron... Carnage

Nom : Anima

* Prénom : Ataron, Carnage

* Age : 682 ansNom : Anima

* Prénom : Ataron, Carnage

* Age : 682 ans

* De quel âge est votre apparence : 40ans

* Race ( vampire, lycan, humain) : Lycan

Poste : Bras droit de Solstheim ( je peux ? ^^ )

* Physique :

Humain:
Carnage… où plutôt Ataron sous cette forme, est sculpté comme les canons grecs, en tant qu’ homme viril et massif, sa carrure est imposante et inspire le respect. Quand il est à un endroit, sa présence est telle qu’ on peu la sentir à plusieurs mètres à la ronde. Ataron à des cheveux bruns rouges épousant la forme de sa tête. Son visage n’ inspire pas confiance, mais pourtant on peu lui faire facilement. De part ses yeux argentés, on peu y lire si il éprouve de la sympathie ou du méprit. Son nez domine au milieu de son visage, tel le sommet d’ une montagne qui culmine sur les êtres. Sa bouche est d’ une attirance remarquable, quand au fait que c’ est par là qu’ il mange et donc doit attiré ses proies en usant de ses charmes. Ataron est couvert de multiples piercings sur les oreilles. Il possède de multiples bijoux un peu sataniques et ne s’ habille qu’ en noir. Le plus souvent doté d’ un pantalon moulant ses muscles et d’ un T-shirt le moulant tout aussi bien, il recouvre le tout avec un manteau en cuir long symbolique à ses yeux. Il porte des bottes de marche confortable et ne s’ usant que très peu au fil du temps, qu’ il a d’ ailleurs depuis ses 300ans, elles lui étaient offertes pour fêté son 3ème siècle de vie.

Lycan:
Carnage donc, lors de sa transformation, devient un être mi loup, mi homme, sous les effet de la pleine lune. Ses membres avant se rallonges, tandis que ceux de l’ arrière s’ amenuisent pour amélioré sa détente. Sa cage thoracique s’ élargie un peu pour lui permettre une bonne endurance et un élancement digne d’ un guépard. Sa tête s’ allonge pour laisser paraître une gueule emplie de crocs acérés et prêts à saisir de leur coupant meurtrier sa nourriture. Ses yeux deviennent blanc vitreux lui permettant meilleure vue dans la nuit. Les poils ne le couvrent pas sur la totalité de son corps mais sur des parties bien définies comme celles de l’ homme. Ainsi, ses poils recouvrent sa tête jusqu’ aux épaules, son torse, ses coudes, ses pattes arrières, puis ses parties intimes. Sa peau est fine mais coriace face aux diverses plaies et tentions, laissant apparaître les veines en transparence. Son vieil âge se révèle, car le Lycan transformé ne parait effectivement plus jeune, mais a toujours ses acquis de jeunesse.

*Caractère:

Carnage a toujours été d’ une droiture exceptionnelle, à cause de l’ éducation que son père lui fit subir autrefois, d’ un naturel incomparable, il reste lui-même sans cherché à paraître quelqu’un d’ autre… il est respecté comme ça et se sens bien dans sa peau. Il est froid et abominable, il critique tout ce qu‘ il peut, cela peu être une chose insignifiante, il trouvera le moyen de la critiqué, pouvant être lourd ou blessant à la longue. Il sait cependant être correct et il peut lui arrivé d’ avoir pitié, sa clémence est dure à obtenir et il faut de très bonnes raisons. Il est loyale et sans merci, il ne trahirai jamais son matriarche et tué est un plaisir pour lui, sa ne lui fait ni chaud ni froid de découpé des gens, au contraire… il adore ça. La gentillesse ne fait pas partie de son vocabulaire et est donc cru quand il parle, presque toujours blessant, sauf pour les gens qui savent comment il fonctionne. Il est cependant fermé sur lui-même et n’ aime pas la compagnie d’ autrui, il préfère la solitude pensive, plutôt que la mauvaise compagnie. D’ un sadique mémorable, il prend du plaisir à mutilé, torturé et se scarifié de temps à autres. Il ne reste fidèle qu’ à Solstheim, il lui est de bon conseil et est un fin stratège. Patient et malin, il excelle en chasse et est à l’ écoute malgré tout, de ce qui se passe dans le royaume. Pour lui, la loi des Lycans est sacrée, il ne tolère aucun écart et fait payé les fautes par la torture, qu’ il pratique lui-même. Il aime resté seul dans les catacombes sous Tarin, car une nostalgie de son passé remonte à la surface. Son principal atout reste son sens de l’ honneur, il est fier et ne supporte pas être prit de haut. Caractère complexe et explosif quoi… Le genre de personne à ne pas se mettre à dos. Car quand il vous tombe dessus, vous êtes sûr de ne pas en sortir vivant ou mourrez peu de temps après.

Objets fétiches :

Un pendentif en argent à faible teneur
Une bague représentant des symboles celtes
Une épée ( manche en ébène noir sculpté, lame en acier trempé gravée de sa main, fourreau en ivoire ) attachée à sa ceinture

Signe particulier :

ses dents repoussent tel un requin

* De quel âge est votre apparence : 40ans

* Race ( vampire, lycan, humain) : Lycan

Poste : Bras droit de Solstheim ( je peux ? ^^ )

voilà mon deuxième moi...

Cela convient ou dois-je changé quelque chose ?...

enfin... es-ce que Carnage doit changé quelque chose ?

hé hé !! Rebienvenue !

et bien ça va mais rajoute quelques lignes à ton caractère et corrige les fautes s'il te plait.

Sinon ça sera bon et je te met dans le post que tu as demandé !

Trouve toi un avatar aussi !

Solstheim voici ton bras droit !

pour mon vava c' est bon...je le mettais quand tu as posté
XD

ok pour mon caractère

si des choses autres sont à changé faites m' en part

ok t'es validé !

Bienvenu euh... REbienvenu*

Ouéééé en lycan xD ! Re-bienvenue!

Rebienvenue^^ j'aime beaucoup ton avatar

comme quand j' ai édité j' ai dépassé la longueur max, je poste l' histoire à la suite

* Histoire ( 15 lignes minimum :

Sa vie commença ainsi, dans les terres entre le royaume de Qualis et Portion. C’ était un petit enfant comme les autres, obéissant, expressif et sournois. Il avait des amis comme n’ importe quel petit de son âge, il jouait avec eux, racontait des blagues stupides et chahutait comme un véritable enfant quoi… A partir de ses 13 ans, son père, le fit travaillé de force avec lui. C’ était pour l’ aidé qu’ il disait… Mais Ataron ne l’ entendait pas de cette oreille, il en décida autrement, tenant tête a son père pour la première fois. Celui-ci, mécontent de la réaction négative qu’ il ne supportait pas de son fils, attendit la fin de la journée pour le battre devant toute la famille conviée ce jour là à un dîner familial. Ataron se rendis alors dans sa petite chambrée à l’ étage, le dos ensanglanté à cause des coups de ceinture, le visage rougit par les gifles et le corps tremblant comme une feuille tombante. Depuis ce jour, les soirs de pleines lunes, il concocta toute sorte de plans d’ échappatoire de cet enfer qui était le sien et cherchait un moyen de tué son père. À l’ âge de 16 ans, enfin, il aboutit au meurtre parfais et à la fugue ne laissant aucunes traces. Un soir d’ hiver venu, il attendais son père patiemment dans sa chambre pour qu’ il vienne le battre, sauf que là, il n’ attendait qu’ une chose: la vengeance de toutes ces années. Son père entra dans la chambre, mais n’ y vit personne et la fenêtre était ouverte. Il alla regardé par là pendant qu’ Ataron était derrière lui, approchant sans bruit d’ un pas assuré. Il brandit un gros bout de bois qu’ il avait prit pendant qu’ il travaillait, et frappa son père dans le dos, lui brisant ainsi plusieurs vertèbres et l’ envoyant valsé par-dessus la fenêtre. Il se brisa la nuque en bas, sur la terrasse en béton… le « pauvre ». La même nuit, Ataron s’ enfuit de chez lui et ne laissa aucunes traces, de sorte à ce que personne ne puisse le retrouvé un jour. Il laissa sa mère et ses 3soeurs derrière lui, n ‘ éprouvant aucuns regret d’ être partit. Il partit seul dans la forêt, sans nourriture et sans eau, parcourant moult distance pour aboutir quelque part. Ce passage de sa vie fut l’ un des plus dur. Il passa à travers champs, courant à toute jambe, d’ un pas léger pour ne pas abîmer les récoltes et ainsi se faire pisté. Il passa dans un enclos empli de vaches, là, il y avait un taureau furieux qui le chassa par de multiples coups de cornes. Ataron se fit comme propulsé par-dessus les barrières et s’ enfui vite dans les bois, avec une déchirure au niveau du ventre qui aurai put lui être fatale si il n’ avait pas eut les bons réflexes dès le départ. Il fit un Garo avec ce qu’ il pouvait trouvé d’ approprié dans la forêt. Il continua sa route à travers les bois, toujours dans le domaine humains, puis il tomba sur un petit village pas très accueillant de vue. Il s’ y aventura, méfiant, quand un villageois l’ aborda. « vous avez l’ air blesser, attendez je vais vous aider ». Ataron ne refusa pas l’ aide du villageois, bien sympathique au premier abord. Il se fit soigné à l’ auberge et repris la route dans la nuit, sans laisser un « au revoir ». Il coupa dans la forêt bordant le village, là il se trouva une petite compagnie de passage qui s’ avérait être un serpent constrictor. Il parcourut une grande distance avec lui, le nourrissant et le chouchoutant. Une fois en bonne chaire, Ataron fit un feu et braisa le serpent, cela lui faisait un repas assez consistant pour tenir la route encore, mais encore fallait-il qu’ il trouve de l’ eau. Il se mit à la recherche d’ un point d’ eau… Il dut pour cela traversé la frontière entre son royaume et celui des lycans sans s ‘ en rendre compte. Il finit par aboutir à un petit ruisseau d’ eau potable, où les lycans ne manquaient pas de passés s’ y abreuvé. Et bien entendu, ça n’ y manqua pas… Un lycan probablement en vadrouille senti la présence de nourriture près du ruisseau. Il alla voir et il s’ avérait qu’ Ataron y était, mais comme c’ est bizarre ! Le lycan s’ en pris à Ataron, qui ne connaissait pas la bête devant lui. Il se fit mordre à plusieurs reprises et se fit même arraché un bout de chaire. Il faisait maintenant partit du clan du monstre qui l’ avait attaqué et ne le su que plus tard, le lendemain pour être précis, une nuit de pleine lune. La nuit tombait, son corps meurtrit gisait à côté du ruisseau. Il sentit d’ abord la chaleur s’ intensifiée dans son corps, il prit ça d’ abord pour le commencement de sa fin, mais c’ était en fait le début d’ une autre vie, une vie de Lycan. Son corps bouillait de l’ intérieur tel un four à pain dans un autre puis lui-même dans un autre. Son corps subit un changement lent et douloureux, ses os s’ écartaient pour laisser plus de place à son nouveau système organique, un cœur plus gros, des poumons plus expansifs et un système digestif réclament de la chaire fraîche et non plus de la vulgaire nourriture de pauvre. Il se tordait dans tous les sens, subissant comme un courroux sa transformation. Il se dit qu’ il allait probablement mourir de douleur, en pleine forêt, abattu par un monstre, mais en fait devenait l’ un d’ entre eux. Cette nuit là, il retourna dans le petit village qu’ il l’ avait accueillit quelques jours plus tôt, faisant un massacre digne d’ un film d’ horreur voir pire. Il se reput de la chaire de chaque villageois présent, débusquant jusqu’ au mieux camouflé. Puis, d’ instinct de loup maintenant, alla vers la capitale Lycane, guidé par la mémoire de celui qui l’ avait mordu. Parcourant la forêt à toute pattes, il croisa l’ un des siens, que la mémoire du lycan l’ ayant mordu n’ avait pas en vue. Il s’ arrêta près de lui pour le connaître, après tout il était maintenant de la même race. Il remarqua qu’ il se dirigeait lui aussi vers la capitale et le suivi donc, pour être sûr de ne pas se perdre. Arrivé au domaine magnifique des lycans, il se rendit compte que celui qu’ il suivait allait vers un immense amas de bois ressemblant étrangement à un château. Le lycan qu’ il suivait alla à une fenêtre de ce château et prononça quelques mots. À ce moment, Ataron entrait par une faille dans le château, passa par les douves et aboutit dans le hall. Il parcouru le château en quête de son guide et fini par le trouvé dans une sorte de bureau. Il lui demanda clémence et de se faire « embauché » en tant que bras droit en vantant ses mérites. Le lycan accepta, car il avait besoin de lui, étant pour l’ instant trop jeune pour gouverné seul. Depuis ce jour, Ataron mena les guerres avec violence, comme une vengeance personnelle, gagnant bataille sur bataille, avec haine et dégoût pour ceux qu’ il combattait. Sa rage était telle, qu’ il fit surnommé par la suite Carnage, pour que le monde se rappel de sa méthode de combat sanglante et sans merci. Ensuite, le matriarche lycan lui confit la tache de torture, tout à son hommage pour ses méthodes efficaces pendant les interrogatoires de guerre. Le voilà maintenant le meilleur allié de Solstheim, combattant à ses côtés, le protégeant, un confident d’ exception pour celui-ci et un ami fidèle. Pour sa loyauté, il se fit offrir une épée confectionnée pour lui, qui était un model unique, d’ une beauté parfaite. Cette arme était faite d’ acier et d’ ébène, se mariant exceptionnellement bien avec son fourreau d’ ivoire. Le forgeron lui demanda cependant de gravé lui-même son nom sur la lame, et il le fit. La lame est signée « Carnage ».

ok je crois que je peux te valider à présent ^^

==' j'ai pas l'courage de lire